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 Le test de forza 3

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CHAMOUSSE




Messages : 407
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MessageSujet: Le test de forza 3   Le test de forza 3 I_icon_minitimeJeu 8 Oct - 15:08

Citation :

Annoncé à l’E3 cette année, Forza Motorsport 3 n’a pas surpris grand monde puisque les rumeurs étaient assez insistantes, mais ce qui a plutôt étonné, c’est que le jeu serait dans les rayons dès cette fin d’année, le 23 octobre. Les développeurs de chez Turn10 ont donc mis les bouchées doubles sur ce nouvel opus...

Au lancement du jeu, on arrive sur un menu assez classieux sur fond blanc avec des lignes très épurées, ce qui donnera le ton du reste de l’interface : l’ambiance est plutôt feutrée et l’ensemble est bien classe. On a donc le choix entre trois parties : on peut lancer le cœur du jeu (mode carrière, etc), se rendre sur le marché Xbox Live ou bien lancer « jeu libre », ce qui nous permet de choisir n’importe quelle voiture du jeu pour la conduire sur le circuit de son choix. Et autant dire qu’on a le choix puisqu’on a accès à plus de 400 voitures pour une centaine de circuits (en comptant les inversés) sur 22 environnements. C’est également en jeu libre qu’on choisira de jouer en écran partagé avec un ami sur la console. Bien sûr, la force de Forza 3 ne se trouve pas dans ce mode de jeu là qui donne accès à tout dès le départ mais bel et bien au mode carrière vraiment conséquent.
Un gros mode carrière

Le principe du mode carrière est simple : on commence par choisir un mode de difficulté et l’une des voitures offertes au début. Ce choix de véhicule déterminera déjà dès le départ les courses qui nous seront proposées ensuite. Si on choisit une voiture européenne, on commencera par des courses avec d’autres voitures de cette catégorie là. Et ça aura également un impact sur le reste de la saison.

Forza Motorsport 3 comporte six saisons en tout pour 220 épreuves (qui comportent plusieurs courses...) au total sur le calendrier. Autant dire qu’il faudra des dizaines et des dizaines d’heures de jeu pour venir à bout du mode carrière. Comme nous l’avons vu précédemment, les épreuves qui seront proposées pendant les saisons se feront en fonction des voitures dont on dispose. C’est pourquoi certaines épreuves nous passeront sous le nez, faute de voiture adéquate. Qu’on se rassure tout de même, on aura l’occasion de faire ces épreuves quand on veut via le menu qui répertorie toutes les épreuves du jeu sur une grille.

Quand on réussit des courses, on obtient plusieurs choses : des points de compétence qui permettent d’augmenter le niveau du pilote que nous sommes (ça permettra de débloquer des épreuves), parfois des réductions sur certaines pièces ainsi que des crédits qui nous donneront la possibilité d’acheter des voitures ou de les améliorer. Ces courses seront assez faciles au début (surtout pendant la première saison) mais évidemment, les choses se corseront un peu plus par la suite. Les circuits seront parfois plus longs, il y aura plus de courses à faire par épreuve et l’intelligence artificielle ne rigolera pas. L’IA est en effet très agressive et il ne faut pas croire qu’elle nous laissera passer facilement sur la piste assez étroite du circuit de Suzuka par exemple. Il n’est pas rare de devoir batailler plusieurs virages pour passer devant un concurrent sans encombre, et c’est vraiment un atout du jeu. L’IA ne suit pas du tout la même trajectoire tout le temps. Ça arrive assez souvent de voir deux véhicules gérés par l’IA devant nous se fritter pour se passer devant et perdre un peu de peinture sur la carrosserie au passage. Elle peut également se planter complètement en ratant un virage pour finir dans les graviers. Tout ça contribue vraiment au plaisir de courir et rend les courses vraiment dynamiques et prenantes, d’autant plus que la fluidité du jeu est exemplaire et que l’impression de vitesse est excellente.

On ne peut pas non plus laisser de côté la réalisation du jeu qui fait un gros bond en avant par rapport à l’épisode précédent. Un tel bond qu’on dirait que Forza 2 est sorti sur la première Xbox. Ici, nous avons droit à des véhicules à la modélisation vraiment soignée. Si en course, on n’a pas vraiment le temps de s’attarder sur certains détails, les amateurs de jolies voitures appuieront volontiers sur le bouton « start » en pleine course pour activer le mode photo. La course s’arrête et on peut ainsi se balader à peu près où on veut pour admirer les voitures en course sous tous les angles (sauf en vue intérieur malheureusement). Comme avec un appareil photo, on peut jouer sur le cadrage, zoom, mise au point, vitesse obturateur, exposition, contraste, couleur et j’en passe. On peut facilement passer plusieurs minutes à trouver la pause parfaite et sauvegarder la photo ensuite pour la partager avec d’autres joueurs en ligne.

On sent aussi qu’un gros travail a été fait sur les circuits et le rendu général des courses. La lumière est mieux gérée et le rendu de certaines pistes est vraiment superbe avec des reflets lumineux du plus bel effet sur l’asphalte en plein soleil. Si globalement le tout est quand même très réussi, on pourrait regretter par exemple le rendu toujours aussi étrange de la piste Maple Valley avec ses arbres vraiment très colorés. Si on continue un peu dans les détails fâcheux, on pourrait parler de l’absence de pare-brise en vue cockpit qui fait perdre un peu en immersion pour le coup même si cette vue reste vraiment jouable, ce qui est un bon point. Concernant la bande-son du jeu, quelques morceaux rock sont assez sympas à écouter en course mais la plupart du temps passent assez inaperçus, d’autant plus que la playlist n’est pas des plus fameuses. On se rattrape par contre avec le son des moteurs qui reste bien rendu et si on était encore une fois pointilleux, on pourrait dire que les crissements de pneus sont un poil trop résonnants pour des courses qui se déroulent à l’extérieur.

Autre chose qui caractérise Forza Motorsport 3, c’est l’accessibilité. En plus des 3 modes de difficulté disponibles (qu’on peut changer en cours de route), le joueur peut personnaliser les aides qui lui sont proposées. Il est ainsi possible de choisir ses propres réglages qui vont de l’ABS, à l’assistance de traction, en passant par le passage de vitesses en manuel/automatique jusqu’à l’utilisation de l’embrayage. Les joueurs les plus téméraires pourront désactiver toutes les aides alors que les débutants préfèreront en activer certaines pour plus de facilité. Mais la grosse nouveauté de Forza 3 en ce qui concerne l’accessibilité se situe au niveau du retour arrière. C’est simple, si en pleine course, au 8ème tour de 5km, on se plante lamentablement dans un virage alors qu’on venait de passer premier, on peut tout simplement appuyer sur « back » et le jeu fera un retour arrière, permettant ainsi de reprendre ce virage de manière plus paisible. Certains ont presque crié au scandale en apprenant cette option dans un jeu orienté simulation mais chacun est libre de l’utiliser ou pas (et évidemment en multijoueurs c’est impossible). Ça permettra au moins aux débutants d’appréhender leurs virages de mieux en mieux au fil des courses et de corriger leurs erreurs pour s’améliorer au final.


Et une fois qu’on prend une voiture en main, les sensations sont vraiment très bonnes. La série est d’ailleurs réputée pour ça, on ressent parfaitement les transferts de masse, le seuil de dérapage, etc, et c’est un réel plaisir de passer parfaitement un virage en rétrogradant de justesse et en repartant à fond les ballons tout en doublant un adversaire un peu moins précis que nous dans ses manœuvres. De même, les sensations ne sont évidemment pas les mêmes d’une voiture à l’autre, au volant d’une Focus RS ou d’une M3 par exemple. Dans un cas, il sera possible d’accrocher le bitume assez facilement à haute vitesse dans un virage et dans l’autre, il faudra vraiment faire attention pour ne pas chasser de l’arrière, ce qui peut être ressenti assez précisément grâce à la gestion des vibrations de la manette vraiment bien foutue. Forza Motorsport 3 est vraiment au top du plaisir de conduite.

Ceux qui connaissent la série le savent, les possibilités offertes concernant la préparation des voitures sont nombreuses, et ce Forza pousse le bouchon encore plus loin avec plus de possibilités encore. Si la voiture choisie du garage ne permet pas d’être suffisamment puissante pour participer à une course, on peut choisir de l’améliorer automatiquement (le jeu se charge d’acheter les pièces qu’il faut) ou bien d’aller soi-même au magasin faire ses courses. Et autant dire qu’il y a du choix ! Ça va de l’arbre à came en passant par l’échangeur thermique jusqu’au pare-choc ou aux freins et amortisseurs, avec à chaque fois plusieurs pièces par catégorie en fonction du budget qu’on a et des performances qu’on souhaite sur la voiture. Ceux qui veulent découvrir la mécanique seront ravis d’avoir une description de chaque type de pièces et de voir ce que chacune d’elle améliore sur la voiture (vitesse, tenue de route, accélération...).

Mieux encore, les réglages permettront aux plus téméraires de perfectionner encore plus leur conduite. Ça passe par le paramétrage de la pression des pneus (avant et arrière) aux rapports de la boite de vitesse en passant par l’ajustement du carrossage, l’équilibre du freinage, sa puissance ou la rigidité des amortisseurs. Et pour que la personnalisation soit complète, il est également possible de personnaliser la peinture de ses voitures.

On peut non seulement choisir la couleur de la peinture (sur toute la voiture, les jantes, rétros, capot ou aileron) avec des peintures normales, métallisées, spéciales ou constructeur mais il est également possible d’appliquer des décalcos et des vinyles dessus. C’est une grande force de la série et ce Forza 3 ne déroge pas à la règle. Il s’agit ici d’utiliser toute sorte de formes pour obtenir le résultat souhaité. 400 formes différentes sont proposées en plus des lettres en différentes polices. Des formes classiques, des dégradés, des rayures, icônes, flammes, taches, tribaux ou encore animaux, la seule limite ici, ce sera celle de la créativité des joueurs. Le tout fonctionne par calques à superposer les uns aux autres et à ajuster en taille, inclinaison, rotation, couleur ou transparence. C’est vraiment facile d’accès mais pour arriver à faire une vraie grosse réalisation, il faudra s’armer de patience. Et une fois qu’on obtient la voiture de ses rêves, on peut faire des essais sur circuit, la donner à un ami, la vendre dans le jeu ou bien la vendre aux enchères sur le Xbox Live et obtenir des crédits pour en acheter d’autres ensuite.

C’est à la salle des ventes qu’on peut vendre ses voitures au monde entier. On donne un prix à la voiture, on peut proposer un « achat immédiat » et déterminer la durée de la vente (ce qui engendrera des frais supplémentaires). Dans le cas où on vend plusieurs véhicules, l’onglet « mes ventes » permet d’avoir les ventes en cours en un coup d’œil. De même, si on est acheteur, on peut non seulement acheter les voitures via le jeu en lui-même ou bien se rendre dans la salle des ventes et découvrir les voitures que les joueurs mettent en vente. Elles peuvent être triées par prix, pays, marque, puissance, etc.

Heureusement, le Xbox Live ne sert pas qu’à vendre ou acheter des voitures, puisque Forza Motorsport 3 intègre bien entendu un mode multijoueur encore plus poussé que Forza 2. Bizarrement, pour accéder au mode multi, il faut aller dans « Forza Motorsport 3 » du menu principal puis dans « Passer à la course » et ensuite dans « Multijoueur », on aurait quand même aimé avoir ce menu dès l’écran d’accueil. Un fois qu’on y est, on peut choisir de trouver une partie ou d’en créer une soi-même ainsi que d’inviter des amis au groupe de huit personnes maximum.

Les amateurs de courses en tout genre devraient être comblés tant les options de Forza sont nombreuses. Course standard, chronométrée, Drag, Drift, Chat et souris, Lièvre et Tortue ou encore élimination, les modes de jeu ne manquent pas mais on peut également paramétrer soi-même chaque mode de jeu pour en créer un nouveau. Autant dire que les possibilités deviennent alors vraiment énormes. On peut aussi bien régler les collisions, le nombre d’équipes ou encore forcer la transmission manuelle, imposer une vue caméra, forcer une marque de voitures, une année, un modèle, un type de transmission ou encore handicaper l’adhérence arrière des voitures. Énumérer toutes les options serait trop long mais sachez qu’il en existe des dizaines. Et puisque chacun peut sauvegarder ses propres paramètres de jeu, aucun doute que les joueurs créeront de nouveaux modes de jeux assez rapidement.

Enfin, nous terminerons l’aspect communautaire avec la possibilité de voir les photos des autres joueurs, d’acheter des réglages de voitures, des livrées (des customisations toutes faites de voitures), des vinyles (logos et autres créés par les joueurs) ou encore de voir les ralentis des joueurs qui sont partagés en ligne. Rien qu’avec les livrées, il y a de quoi passer de longs moments à contempler le travail de certains joueurs sur leurs voitures.

Bilan :

On a aimé :
Les sensations de conduite toujours au top
Une fluidité exemplaire
Durée de vie conséquente
Les options de préparation/customisation des voitures
Les nombreux paramètres du mode multijoueur
On n’a pas aimé :
Heu...
... Allez, le manque de vitre en vue intérieure
L’aliasing perceptible
Et le rendu des dégâts pas aussi poussé selon les voitures

Une petite bombe

Il n’y a aucun doute à avoir, Forza Motorsport 3, c’est du lourd. Des heures de plaisir de conduite, des heures d’améliorations et de customisation des véhicules, des heures à passer sur les modes en ligne, à prendre des photos, à passer dans la salle des ventes, à.... Le jeu est bien la bombe attendue qui comblera assurément les amateurs de conduite et les autres. Car oui, le jeu est plus accessible avec les nouvelles options mais même les plus pointilleux retrouveront là un jeu très complet et fidèle à ce qu’on peut en attendre. Bravo messieurs de chez Turn10 pour avoir réussi ce grand écart avec brio tout en rendant le jeu encore plus complet qu’il ne l’était.
Source : http://www.xboxygen.com/Tests/Tests-Xbox-360/Forza-Motorsport-3-2753?artpage=4-4
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MessageSujet: Re: Le test de forza 3   Le test de forza 3 I_icon_minitimeJeu 8 Oct - 16:54

Citation :
L'embargo de Microsoft sur les tests de Forza Motorsport 3 s'est enfin levé aujourd'hui, ce qui nous permet de découvrir les premières notes très alléchantes de ce hit en puissance. Vous pouvez lire les tests français (les liens sont en dessous) de nos confrères d'Eurogamer.fr, JeuxVideo.com et celui de nos copains de Xboxygen en attendant celui de Xbox-Mag. Que le 23 octobre paraît loin !

• OXM France - 19/20
• Eurogamer.fr - 8/10 http://www.eurogamer.fr/articles/forza-motorsport-3-test?page=1
• IGN UK - 9.4/10
• IGN US - 9.4/10
• Team Xbox - 9.5/10
• Gamespy - 4.5/5
• G4 - 5/5
• Gamer365.hu - 9.5/10
• JeuxVideo.com - 17/20 http://www.jeuxvideo.com/articles/0001/00011599-forza-motorsport-3-test.htm
• Xboxygen - 5/5 http://www.xboxygen.com/Tests/Tests-Xbox-360/Forza-Motorsport-3-2753
• NowGamer - 9.2/10
• Videogamer - 10/10
• GameDaily - 9/10
• Xbox360Achievements - 93%
• MSXboxWorld - 9/10
Source : http://xbox-mag.net/les-premieres-notes-de-forza-motorsport-3__18593.html
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MessageSujet: Re: Le test de forza 3   Le test de forza 3 I_icon_minitimeJeu 8 Oct - 20:17

Citation :
Second Test'In LIVE dédié à Forza Motorsport 3, celui-ci est tiré de la version de debug du jeu. Quelques petits détails pourraient avoir changer, mais relativement peu.

Aujourd'hui, nous allons simplement faire le tour des menus.
Source : http://www.xboxlive.fr/news_affiche_10501.html
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MessageSujet: Re: Le test de forza 3   Le test de forza 3 I_icon_minitimeVen 9 Oct - 19:45

Citation :
Un nouveau Test'In Live encore dédié à Forza Motorsport 3.

Tant que j'y pense, et cette information va en intéresser plus d'un : les temps de chargement !

Bien entendu, et encore une fois, le jeu que nous possédons est une version débug datée de la veille ou l'avant veille de l'annonce Gold. donc très très proche, pour ne pas dire identique à la version finale.

Le temps donc, lorsque l'on joue sur le DVD, est d'environ 35 secondes pour le chargement d'un circuit. Une fois le 1° DVD copié sur le disque dur, le temps descend à environ 15 secondes. Mais dépend également du circuit.

Aujourd'hui donc, cette vidéo mettra en avant la création de logos personnalisés.
Source : http://www.xboxlive.fr/news_affiche_10506.html
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MessageSujet: Re: Le test de forza 3   Le test de forza 3 I_icon_minitimeDim 11 Oct - 15:52

Citation :
Se balader dans une très longue liste de noms c'est jamais très fun mais MorphBZH y a remédié en créant un fichier PDF de toute beauté. La liste des véhicules y est disponible par constructeur, classe et indice de perf mais aussi année de construction.
Source : http://www.x360racer.com/index.php?option=com_content&view=article&id=760:la-liste-des-autos-fm3-en-pdf-par-morphbzh&catid=67:forza-motorsport-3

L adresse du site : http://domi2001.free.fr/fm3/
le lien pour télécharger ce pdf de 20mega
http://domi2001.free.fr/fm3/fm3_liste_des_vehicules.pdf
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MessageSujet: Re: Le test de forza 3   Le test de forza 3 I_icon_minitimeJeu 15 Oct - 13:17

[quote]
Citation :
Lancée en 2005 sur Xbox, la franchise Forza Motorsport affichait d'entrée de jeu son ambition : détrôner Gran Turismo, la simulation automobile phare du constructeur concurrent, Sony.

Performante dès ses premiers pas au point de modifier le paysage des jeux de caisse sur consoles, la saga de Turn 10 s'incarne en cette fin d'année sur Xbox 360 avec un troisième volet tout bêtement baptisé Forza Motorsport 3, le deuxième en HD. Et quatre ans après ses débuts, ses objectifs restent les mêmes, avec Gran Turismo 5 en ligne de mire, comme pour Forza Motorsport 2 en son temps. Il faut dire que Microsoft aura presque réussi à caler trois Forza entre deux épisodes complets de Gran Turismo, sans pour autant les bâcler ou trop se reposer sur ses lauriers comme en témoigne ce dernier volet toujours aussi remarquable. Explications.

You need more space

Avant d'entrer dans le vif du sujet, impossible de ne pas aborder la première surprise offerte par Forza Motorsport 3 avant même son lancement : le jeu repose sur deux DVD. Considéré comme le DVD principal, le premier d'entre eux contient la majorité du titre, tandis que le second ne renferme qu'une centaine de voitures supplémentaires et quelques environnements (et pas des moindres : Fujimi Kaido, Nürburgring et Rally di Positano), du coup inaccessibles si on ne l'installe pas. Car ce second DVD se comporte comme un DLC : il suffira de l'installer sur le disque dur de sa Xbox 360 (environ 2 Go) pour en profiter. On n'aura donc pas à changer de DVD entre deux courses, rassurons-nous. Comme d'habitude, il sera également possible d'installer le disque primaire du jeu (un peu moins de 9 Go en tout), ceci ne réduisant toutefois pas de façon drastique les temps de chargement un peu longs entre chaque épreuve.

Ce petit faux-départ oublié, il sera temps de passer aux aveux en donnant son niveau présumé dans les jeux de sport automobile : débutant, occasionnel ou chevronné. Voilà qui servira à dégrossir le paramétrage de la difficulté du pilotage du titre, qui compte pas moins de cinq niveaux (facile, intermédiaire, difficile, avancé et expert) jouant sur les différentes assistances comme le freinage automatique, l'antiblocage des roues au freinage ou le contrôle de stabilité et de traction. Là encore, pas de panique, tous ces éléments pourront être modifiés à n'importe quel moment un peu plus tard, et on prendra donc sereinement le volant de notre première voiture (imposée) : une Audi R8 rouge pétante, pour quelques tours de piste en guise d'apéritif. L'expérience terminée, il sera temps de choisir réellement sa première acquisition parmi une liste de quelques modèles assez modestes. Problème : on ne disposera pas à ce stade de leurs performances, si bien qu'il faudra choisir au feeling. Heureusement, cette première voiture est gratuite et l'on retrouvera bientôt tous les éléments nécessaires pour choisir ses véhicules en âme et conscience. Ces débuts témoignent en tout cas de la recherche d'accessibilité de Forza 3 qui, outre sa désormais traditionnelle trajectoire au sol indiquant à quelle vitesse aborder un virage, propose également un rembobinage en jeu, permettant de revenir quelques secondes en arrière après un accrochage ou un freinage raté par exemple. Un héritage casual bienvenu en de nombreuses situations, et de toute façon facultatif pour les intégristes de la simu. L'accessibilité du titre repose encore sur un mode de pilotage facile ultra simplifié puisqu'il suffira - comme dans Need For Speed : Shift - de tourner le volant et de laisser l'accélérateur enfoncé pour faire sa course, l'ordinateur contrôlant tout le reste, y compris les freinages. Que l'on se rassure toutefois, le pilotage offre ensuite assez de niveaux pour aller crescendo vers la simulation, la vraie, qui prédomine encore largement dans ce Forza 3. Ouf.

"Poweeerrrr !" (Jeremy Clarkson)


En toute logique, on retrouve dans ce troisième épisode une carrière solo autour de laquelle tout le titre s'articule. De façon très classique, il s'agira encore et toujours d'enchaîner les courses aux quatre coins du monde pour gagner des crédits, nécessaires à l'achat de nouvelles voitures et leur préparation. Le leveling est aussi de nouveau de la partie, et comme dans Forza Motorsport 2, un premier niveau, général, nous permettra principalement de gagner de nouveaux bolides au gré de l'expérience acquise en course, si bien que l'on en achètera finalement très peu, voire pas du tout, tout au long de notre carrière. Un deuxième niveau, indépendant de chacune de nos voitures et bloqué à 5 cette fois-ci, donnera, lui, accès à de nombreuses ristournes auprès des préparateurs afin d'améliorer nos montures à moindre frais. Rien de bien neuf pour les amateurs du précédent épisode, qui découvriront en revanche une présentation de cette carrière sous forme de calendrier. Il faudra y choisir chaque semaine ou presque un mini-championnat, que l'on conjuguera avec un championnat à l'année, qui nous fera grimper petit à petit dans les sphères de la compétition. Un déroulement plutôt bien vu, même si on regrettera que les suggestions de mini-championnats ne favorisent pas davantage ceux jamais courus. Car il y en a une belle tripotée - y compris des courses de drag -, et pour s'en convaincre, il existe un tableau regroupant toutes les épreuves disponibles. Toutefois, en choisissant un tournoi de cette manière, il ne fera pas avancer notre calendrier, or c'est précisément l'effet souhaité puisque le championnat annuel est bien plus important et rémunérateur que tous les autres... Cette carrière s'avère en revanche bien progressive, et nous fait concourir de la classe F à R1 (le système d'Index de Performance étant conservé), balayant ainsi tout le spectre des bolides disponibles dans le jeu. Entre le système de niveaux et les championnats, les récompenses sont par ailleurs nombreuses et régulières, si bien que l'on avancera avec plaisir, les crédits coulant rapidement à flots et les voitures de prestige se débloquant à la pelle. Turn 10 nous gâte, surtout avec un roster de caisses pareil, qui nous place très rapidement au volant de modèles d'exception et de course (plus de 400 en tout), notamment issus de l'endurance et de l'ALMS. Prendre en main la Ferrari FXX ou les prototypes Porsche RS Spyder et Peugeot 908, c'est toujours quelque chose...


Côté circuits, la liste est toute aussi éloquente avec Laguna Seca, Sebring, Road Atlanta, Tsukuba, Silverstone, le Nürburgring ou encore Suzuka, tandis qu'au menu des nouveautés, on retiendra : Le Mans (en version 24h, mais aussi Bugatti), Road America et Sedona Raceway, mais aussi quelques tracés plus exotiques tels qu'Amalfi Coast, Fujima Kaido (typé drift), Camino Viejo de Montserrat ou Rally di Positano. Le tout apparaît par ailleurs brillamment modélisé, et les habitués des 24 Heures du Mans reconnaîtront par exemple immédiatement la topographie des lieux et salueront l'exactitude de la représentation, jusqu'aux tribunes et autres à-côtés. Même constat pour Laguna Seca, Catalunya, ou encore Suzuka, tous les circuits en général affichant une impression de relief assez bluffante et ce qu'il faut de bosses pour nous faire regretter le billard de Magny-Cours. Autant de destinations au service du pilotage de Forza 3, qui s'inscrit dans la lignée de son prédécesseur avec quelques améliorations à la clé. Les freinages, tout d'abord, s'avèrent moins pointilleux que dans Forza Motorsport 2 avec la plupart des véhicules, la prise des freins à la manette étant un peu moins brutale, excepté avec quelques bolides de furieux, comme les prototypes. Remarque inverse concernant les sorties de virage, qu'il faudra plus que jamais doser avec précision, tandis que l'on notera un meilleur ressenti des points d'appui des voitures, pour des placements ajustés aux abords des virages. Un point appréciable, surtout en drift, où l'on remarquera par ailleurs une gestion de la température des pneus affinée ; il sera désormais possible de mieux contrôler son véhicule avec des pneus à l'agonie. Autre élément, moins discret cette fois : les contacts avec nos adversaires se montrent ici bien moins indulgents, tout comme certains vibreurs particulièrement traîtres. De bons repérages seront donc nécessaires. On oubliera en revanche rapidement l'idée de couper au travers de certains virages, la voiture étant violemment ralentie en cas de sortie de piste pour calmer les petits malins. Reste que l'on pourra toujours grignoter un peu le bord de piste sans craindre de déséquilibrage ou autres pertes d'adhérence. Dommage. Mais globalement, Forza 3 parvient à offrir un niveau de simulation sensiblement plus élevé que son prédécesseur, sans perdre de son excellente prise en main, à la manette comme au volant. Un tour de force impressionnant de la part de Turn 10 qui confirme, si c'était nécessaire, sa maîtrise de la simulation pour un plaisir de pilotage remarquable. Chapeau, tout simplement.





Community centric


Outre sa partie pilotage, l'autre point fort des Forza reste sans conteste son aspect communautaire, transcendé avec Forza Motorsport 2 et son atelier de peinture/vinyles qui fait encore un malheur sur le Xbox Live. On retrouvera bien sûr cette fonctionnalité dans ce nouvel épisode, qui étend maintenant le partage aux réglages. Complets comme il faut, ils permettent d'ajuster la pression des pneus, les rapports de boîte, l'alignement des roues (carrossage, parallélisme et chasse avant), les barres antiroulis, les ressorts (ressorts et garde au sol), les amortisseurs (rigidité), l'aérodynamisme, le freinage et le différentiel. Autant d'éléments à modifier avec l'aide de la télémétrie (toujours aussi précise et disponible en pleine course ou lors des replays), et pour ceux qui ne comprendraient rien à tous ces barbarismes, qu'ils se rassurent : la difficulté du jeu en solo reste très accessible et ne nécessite pas franchement de passer des heures côté réglages. En ce qui concerne les améliorations moteur, Turn 10 s'est largement penché sur la question dans ce troisième volet qui comprend une foultitude de paramètres rangés par domaines : moteur et puissance (filtre à air, admission, alimentation, échapppement, arbre à came...), tenue de route (freins, ressorts et amortisseurs, barres antiroulis, etc.), transmission (embrayage, boîte de vitesse, différentiel), pneus et jantes (largeur, style des jantes et taille des jantes), aérodynamique (pare-chocs, et aileron), swap moteur, suralimentation... Bref, la liste est longue et les choix pas toujours faciles, une pièce pouvant par exemple bénéficier à la tenue de route, mais réduire la vitesse de pointe, et ainsi de suite. Comme en vrai donc, et c'était bien là le but affiché du studio américain, qui a toutefois pensé à simplifier le tout pour ceux qui souhaiteraient passer moins de temps dans les menus, aussi réussis et fonctionnels soient-ils. On pourra en effet aussi améliorer ses véhicules à l'aide de packs complets, en choisissant simplement quelle catégorie on vise (l'IP).


Réglable selon trois niveaux en carrière (facile, normal et difficile) mais pas du tout en mode de jeu arcade - choix assez étonnant par ailleurs -, l'I.A. adverse promet des courses propres quoiqu'un peu trop plates par moment. Nos adversaires porteront bien entre eux quelques attaques de temps en temps et se replaceront dans le sillon de leur proie en cas d'échec, mais le tout manque un peu de punch et de prise de risque. Si l'on assistera bien à quelques rares accrochages, on est tout de même loin de la hargne d'un Race Driver : GRID par exemple, ce qui n'est sans doute pas un mal tant les dégâts peuvent ici ruiner une course entière (sauf si l'on utilise le rembobinage à outrance bien sûr). Relativement superficiels d'un point de vue visuel - on aura seulement le droit à quelques grosses rayures, déformations et éléments branlants -, les dégâts s'avèrent globalement corrects, même si on remarquera que ceux-ci sont tout simplement absents en vue cockpit. Un pare-brise fissuré ? Que nenni, il restera intact en vue cockpit. Dommage. Les répercussions sur le pilotage sont en revanche agréablement bien réalisées puisque carrosserie, freins, roues, moteur, boîte et pont pourront être touchés de façon indépendante. Et si un gros choc ne signera pas l'abandon immédiat, il réduira en poussière les chances de victoire, la faute à un parallélisme faussé, à un moteur à l'agonie, à une boîte cassée, ou bien les trois à la fois. Pas de bol. Un passage de rapport raté et c'est toute la boîte qui prendra un coup, sans parler de l'éventuel blocage de boîte qui va avec. Bref, on prendra soin de sa monture en course, d'autant que les dégâts seront soustraits à nos gains à la fin de chaque course. En dernier recours, il sera également possible de faire un tour par les stands qui, étrangement, permettra de remettre à zéro tous les dégâts mécaniques, mais pas ceux d'ordre visuel. Ce n'est certes pas la priorité en course, mais réparer un moteur en quelques secondes n'est pas franchement plus réaliste...

Y'a plus de saisons


Déjà doté d'une durée de vie considérable en mode carrière, Forza Motorsport 3 fera durer le plaisir avec un mode arcade permettant dès le lancement du jeu de découvrir toutes les voitures et pistes du jeu lors de courses rapides, de contre-la-montre ou encore d'épreuves en écran partagé à deux. Un mode de plus en plus rare dans les jeux actuels et forcément bienvenu, tandis que la partie en ligne propose des courses simples sur circuit, ovale ou encore du drag et du drift, le tout jusqu'à huit. On dispose bien sûr de tout un tas de paramètres au moment de la création de la partie, comme la possibilité de modifier la grille de départs, de mettre en place des départs différés, d'ajouter des véhicules contrôlés par l'I.A. ou encore d'opter pour une course en plusieurs manches. On aurait aimé pouvoir participer à une réelle carrière en ligne, mais on aura déjà de quoi faire, sans parler de toute la partie partage des voitures, des livrées, des vinyles et des réglages. Forza 3 se perfectionne donc petit à petit, un sentiment également valable pour l'aspect visuel certes pas aussi flamboyant qu'on l'aurait espéré, mais néanmoins très correct. Le bond qualitatif par rapport à Forza Motorsport 2 est en tout cas réel, tant au niveau des pistes que des modélisations des voitures, plus fines et détaillées. Le frame rate ne bouge pour autant pas d'un iota et reste fluide en toutes circonstances, excepté lors de certains passages à deux en écran splitté. Le prix à payer pour ce confort est toutefois des temps de chargement encore longs, même une fois le jeu installé sur le disque dur de la console. Au rayon des doléances, on citera également des moteurs et une partie sonore en général un peu en deçà de ce que l'on pouvait attendre de ce Forza 3, alors que la vue cockpit - nouveauté de première importance de ce volet - déçoit par son manque de punch. Outre l'absence de geste à chaque passage de vitesse, le pilote paraît comme mou et lent dans ses réactions en vue interne, modifiant ainsi notre perception des événements en course. Après Race Driver : GRID et Need For Speed : Shift, la douche est froide, même si les titres ne jouent pas exactement dans la même catégorie. Difficile également de ne pas remarquer l'absence de météo et de cycle jour/nuit, décidément boudés par les récentes simulations sur consoles de salon.


8
Très bon

Bon

Dan Greenawalt, le Game Director de Forza Motorsport 3, avait raison : ce troisième épisode de Forza est bien la nouvelle référence en matière de simulation automobile sur consoles de salon. Apparaissant de prime abord comme une suite fainéante, il affiche en réalité une somme de petits ajouts qui font la différence, aussi bien côté pilotage que fonctionnalités et possibilités. Il en résulte un titre ultra complet, distillant un plaisir de jeu unique à la manette comme au volant et doté d'une durée de vie dantesque, mais néanmoins égratigné par quelques imperfections à l'image de cette vue cockpit insipide, une plastique en demi-teinte et l'absence de météo. Cela n'empêche toutefois pas Forza Motorsport 3 de tutoyer des sommets et de s'imposer avec une relative facilité. En attendant la réplique de Sony ?

Les plus...

Un pilotage toujours aussi fin et bien calibré en simulation
Une liste de véhicules et de pistes incomparable
Les réglages, les améliorations
L'excellente durée de vie
L'ouverture vers la communauté en ligne
Les efforts d'accessibilité

Les moins...
Une vue cockpit insipide
Pas de météo, ni de cycle jour/nuit
Peut mieux faire visuellement parlant
Des temps de chargement encore longs
Source : http://www.gamekult.com/tout/jeux/fiches/J000090862_test.html
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